Le chant de l’océan

Auteur : Erika Boyer
Maison d’édition : Auto édition
Nombres de pages : 228

Résumé :

L’amour de Stecy et Lucas vaincra-t-il les démons du passé qui menacent leur présent ?

Depuis des années, Stecy est rongée par ce qu’elle a vécu. Incapable de faire confiance aux autres, elle n’envisage pas d’être heureuse avec un homme, pas même avec Lucas, celui qui fait battre son coeur, car elle sait qu’elle ne pourra jamais lui offrir ce dont il a besoin.

Lucas n’a pas le droit à l’erreur, il le sait, s’il fait le moindre faux pas, on lui retirera ce qu’il a de plus précieux. Et si tomber amoureux de Stecy, de plusieurs années sa cadette, n’a rien d’une faute, cela reste dangereux. Il n’a pas les épaules pour faire face à son présent tout en gérant le passé de celle qu’il aime.

Pourtant, leur amour est impossible à nier, et leur attraction bien réelle, en dépit des risques. Leurs sentiments l’un pour l’autre sont aussi vrais que les vagues de l’océan de Lacanau sur lesquelles ils aiment surfer, que la beauté des photos prises par Lucas ou que celle des vêtements créés par Stecy. Il est pur, intense, difficile à ignorer quand l’être aimé est si proche, toujours prêt à nous décrocher un sourire et à faire battre notre cœur.

Seront-ils prêts à mettre tout en jeu pour répondre à l’un de leur désir le plus profond : être ensemble ?

Si vous avez aimé Rose et Ethan, vous adorerez Stecy et Lucas dans ce spin-off de ‘Le langage des fleurs’ !

Mon avis :

Bon, je sais que c’est un peu étrange de vous parler du tome 2 alors que j’ai complètement zapper de chroniquer le tome 1 mais déjà c’est un spin off, pas une suite, donc pas grave et en plus ce tome la m’a particulièrement touchée !

Dans ce roman qui se passe sur nos jolies plages françaises on suit deux personnages que j’ai adoré. Lucas tout particulièrement que j’ai trouvé Humain (oui oui avec un grand H). Plein d’empathie, de compassion, d’amour et de douceur. Mais aussi de failles et de faiblesses qu’il ose dévoiler. C’est beau.

Erika m’a embarquée dans un sujet qui n’est pour moi pas assez mis en avant : la maladie mentale. A savoir ici, la dépréssion.
En utilisant l’heroïne de Stecy elle nous montre avec élégance, douceur qu’on peux apprendre à vivre avec et que ce n’est pas qu’une question de « se bouger les fesses » pour rester polis. C’est emmené avec beaucoup de tact sans prendre le lecteur de haut et j’ai vraiment énormément apprecier ce point.

En bref, c’est une belle histoire de famille, d’amitié, de seconde chance et d’amour qui mérite d’être lue.

Deb

Si vous aussi vous voulez rencontrer Lucas et Stecy c’est par là :

2 réflexions sur “Le chant de l’océan

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